Un monde de couilles

« L’intelligence des femmes, c’est dans les ovaires » Léo Ferré



Amis déviants bonsoir. Voilà bien longtemps que ma digne et Déviante Créature Originel n’avait pas molesté une quelconque catégorie de personne (que cela soit justifié ou non) et il était évident que cela n’allait pas tarder à me démanger de nouveau.
Ce soir, je vous propose un peu de misogynie, car taper sur un sexe faible; ça peut être (paradoxalement) bandant.
Alors ? Où en sont les radasses et autres chiennes de garde en cette belle nuit d’hiver 2010 ?
Où sont les râleuses ? Les fascistes épilées qui n’ont d’autres rêves que de devenir aussi virils que le salaud qui a osé lever la main sur elle (car le salaud sait qu’elles aiment ça) ?
Et bien la femme en est et sera toujours au même point : Sur nos bites.
Car la femme n’est bonne qu’à ça comme vous le savez… On pourrait même dire qu’elle n’est bonne qu’à faire des enfants bien qu’un risque de Progéria existe.
Je vois déjà les femmes protestant de vives voix aigues, monter au créneau du haut de leurs talons et tenter de frôler le génie masculin afin de faire pencher la balance.
Mais dites moi les ribaudes, citez moi un nom de génie possédant une chatte… Marie Curie ? Aidé par son mari ! Cléopâtre ? Elle a mal finie ! Ségolène Royale ? Ah ah ah trêve de conneries : LA FEMME NE POURRA JAMAIS ETRE L’EGAL DE L’HOMME.
Parce qu’une femme en définitive, même déviante, qu’est-ce que ça apporte de bien en dehors du cul ?
Pourquoi ne pourrais-je pas par exemple, remplacer la femme par un fleshlight et avoir la paix jusqu’à la fin de mes jours ?
En toute confidence messieurs, ça ne vous fait pas rire intérieurement quand vous rencontrez une femme qui s’imagine être assez intelligente pour avoir une discussion profonde avec vous ?

« Attends, tu veux me parler philosophie alors que tu ne fais que paraphraser le prof ? Tu sais que les FFI en ont tondus pour moins que ça ? ».

Ah ah sacré ribaudes, elles nous en font voir tout au long de la journée, à nous demander des services, à ricaner comme des dindes (vous empêchant de vous concentrer sur une quelconque action terro-déviante), à parler de la dernière émission sur TF1 et à mouiller devant le dernier acteur à la mode qui finira oublié comme le furent Drazic de Hartley Cœur à Vif, Philippe des 2BE3, Sasha Distel et autre Mike Brant…
Si les femmes avaient la capacité d’avoir de vrais goûts en matière d’homme, le féminisme n’existerait pas n’est-ce pas ?
Autre déviante réflexion : 100% des femmes sont contre l’infidélité de leur compagnon, combien parmi elles se feraient troncher sans scrupule par un type déjà casé par pur souci de croire que leur vie a un quelconque intérêt au niveau des aventures vécues ? Combien de Madame Bovary se cachent parmi les féministes de base ? Combien de femmes réclament aux hommes le beurre, l’argent du beurre, le cul de la vendeuse et toute la putain de crèmerie ?

Le féminisme est un fascisme qui nuit à nos bites une fois par mois, en bouffant des glaces aux fruits fictifs et cachent leurs vilaines peaux sous de la peinture qu’elles appellent « maquillages ».

Si les femmes n’existaient pas, il y aurait moins de guerre dans le monde c’est moi qui vous le dit et même qu’on ne serait pas obligé d’être hygiéniques et qu’on aurait des immenses espaces pour jouer à la console si on rasait tout les magasins Sephora et autres bijoutiers.

Et puis sur la plage, il n’y aurait plus de connard pour chanter des chansons de bobo avec une guitare désaccordée, ni même de relous en soirée, et on pourrait transformer les crèches en sex shop ou en salles qui organiseraient des match de catch et peut être même qu’on légaliserait les combats d’animaux et on fabriquerait des robots qui nous feraient les meilleures branlettes au monde et la guerre redeviendrait de nouveau fun car on ne risquerait plus de blesser ou tuer mortellement des femmes et des enfants au passage…

En clair, la seule solution pour que la Déviance s’en sorte, et de se débarrasser des femmes et de manger les bébés.

Mon prochain article traitera d’une espèce étrange et inférieure composée d’ados qui se poignardent et se reproduisent avant la majorité parce qu’ils picolent dès l’âge de 8 ans : Les anglais.